Dunavel voulait des éclaircissements sur une question financière liée à son projet immobilier. Il connaît déjà la règle des 20 % avec le minimum de 10 % de fonds propres au 1er pilier. Mais, il souhaite avoir plus d’informations sur la possibilité d’amener plus de 10 % en 2ème pilier avec ses fonds propres.
Dunavel et ses anciens amis de classe Jomini, Babey et Albert, se rencontrent dans un restaurant de la ville pour en parler. Selon Jomini, seulement les minimums existent en apport de cash au deuxième pilier de la LPP. Avec des chiffres à l’appui, il explique à son ami la règle des 20 %, dont 10 % en cash. Il en déduit qu’il est même possible d’amener des fonds propres à 27,5 %.
Babey explique alors que Dunavel doit juste respecter la règle des 10 % de cash. Il pourra ensuite amener 10 % ou plus au 3ème pilier. Babey de rajouter que l’impôt sur la prestation en capital est progressif. Il est donc plus judicieux de retirer son 2ème pilier sur une année fiscale autre que celle du retrait de son 3ème pilier.
Albert, quant à lui, oriente ses arguments sur les chiffres. Il prend des exemples concrets sur son cas personnel. Il a signé pour 10 ans à 2,93 % avec 6 % de cash, une dette à 94 %, 15 % au 2ème pilier en nantissement et un amortissement indirect au 3ème pilier. Pour lui, il suffirait de se baser sur un calcul fiscal pour savoir s’il vaut la peine de mettre le 2ème pilier en nantissement ou non.
Il a cité quelques exemples relatifs à son cas personnel, notamment les prestations LPP inchangées en cas d’incapacité. Pour avoir un conseil d’expert sur les stratégies de financement, Albert a aussi suggéré à Dunavel de faire appel à A&D Plus Sàrl. Cette entreprise connaît en effet les différentes aides financières possibles pour tout projet de nouvelle construction ou de rénovation.
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